Une étude récente a montré que la part des foyers en situation de précarité (qui ont des difficultés récurrentes à payer leur facture d’eau) représente 8% de la population du GrandAngoulême, tandis que la part des foyers en situation de pauvreté (incapables de payer) est de 1,4 %.
Les dispositifs en place, tels que le FSL, semblent par ailleurs toucher leurs limites.

Face à ces constats, les élus de l'Agglomération GrandAngoulême ont décidé d'étudier la mise en place d'un tarif social de l'eau.

L’hypothèse d’une tarification progressive est d’ores et déjà écartée à cause de ses effets indésirables (par exemple la pénalisation des familles nombreuses).
Il pourrait donc s’agir d’un tarif spécial minoré pour la consommation et l’abonnement, accessible par exemple aux foyers éligibles à la CMU (Couverture Maladie Universelle) comme cela se pratique déjà pour l’énergie.